Le chagrin est toujours là et se résume en une phrase: "nous ne vieillirons pas ensemble".

Ma photo
Nom :
Lieu : Marseille, Provence, France

lundi, mars 19, 2007

Changement d'adresse

Retrouvez moi sur:

http://umanimo.hautetfort.com/



dimanche, mars 18, 2007

Nouveau blog

Faut pas m'énerver longtemps! Aussitôt décidé, aussitôt fait.

J'ai donc créé un nouveau blog. Après être allé à droite et à gauche, je me suis inscrite dans trois plate-forme de blog et celle de haut et fort m'a parut la plus simple à mettre en oeuvre en particulier pour ce qui est du design.

Par contre j'y ais passé du temps. Presque toute la journée pour faire quelque chose qui me plaise. J'ai procédé par tatonnement car je ne m'y connais pas assez en html pour faire ça les doigts dans le nez.

J'ai quand même réussi à faire disparaître la colonne de droite parce que sur ces blogs, ya pas le choix: une colonne à droite et une à gauche et un espace beaucoup trop serré à mon goût au milieu pour les notes.
J'ai réussi aussi à mettre des couleurs à mon goût (faut aimer les couleurs chaudes et vives), parce que là aussi les modèles proposés, bof, bof! Par contre impossible de caser mon image de fond. Je ne désespère pas d'y arriver un jour, mais pour l'instant, ça reste uni partout.

Donc maintenant rendez vous ici:

http://umanimo.hautetfort.com/

samedi, mars 17, 2007

Je sens ...

... que je vais aller à nouveau poser mes valises ailleurs.

J'ai eu le malheur de vouloir passer à la nouvelle version de blogger qui est couplée avec google.
Depuis j'ai de gros problèmes de connexion. Le site n'accepte plus mon mot de passe. Je dois chaque fois le réinitialiser. Je remets le même bien sûr, mais à la connexion suivante, rebelote.

Merde!

Donc je vais chercher une autre plateforme de blog et probablement déménager à nouveau mes pénates.

vendredi, mars 16, 2007

La demi tonne

J'ai beaucoup souffert dans mon enfance de ma corpulence. La "demi tonne" c'est le surnom que me donnait mon cousin. On imagine à quel point ce doux nom devait enchanter la petite fille hyper sensible que j'étais.

En fait, je n'ai commencé à grossir que vers l'âge de 8/9 ans. J'ai des photos qui datent d'avant cette époque où j'étais plutôt filiforme. Ma mère m'a dit: "tu ne mangeais rien à l'époque, j'étais obligée de me battre pour te faire manger".

Connaissant ma mère et ses réactions maintenant face à la nourriture et imaginant bien qu'elle devant agir ainsi lorsque nous étions jeunes, mes soeurs et moi, je pense que son long travail de sape a dû alors commencer à porter ses fruits. Elle a toujours aussi associé "chagrin=>on mange pour se consoler".

Comment voulez vous que, dans ce contexte et ayant de plus, héréditairement, tendance à stocker, je n'ai pas été en surpoids dès la préadolescence?

Mon cauchemar tous les soirs en rentrant du collège c'était de passer par une rue où je croisais les garçons sortant du collège des garçons (pas de mixité à l'époque) et essuyais leurs moqueries.
J'étais encombré par mes trop gros seins et j'en avais honte aussi. Lorsque nous allions en vacance dans le village famillial, je passais plusieurs jours à me cacher avant de me décider à aller jouer avec les autres enfants. Et c'était toujours avec réticence. Sur le qui vive, craignant à chaque instant la réflexion qui démolirait mon fragile équilibre.

A partir de l'âge de 18 ans, j'ai commencé la spirale infernale des régimes où on perd 15 kilos et on en reprend 20 aussitôt. Je ne sais combien de fois j'ai maigri ... et regrossi ensuite avec usure.
La dernière en date, c'est après ma grossesse: perdu 17 kilos, repris 25.

Aussi quand un médecin me parle de perdre du poids, je dis non systématiquement. Je sais que j'ai trop de poids. Que ça me pose des problèmes dans ma vie quotidienne, mais refaire encore une fois la même chose, non merci, j'ai assez donné.

mardi, mars 06, 2007

J'aime les gros

Oui, n'en déplaise au jeunisme et mincisme ambiant, j'aime les gros.

Je me suis aperçue il y a quelques années que j'étais plus attirée (je parle du physique) par les hommes corpulents que par les hommes minces. Je ne parle même pas des maigres!

Je répète que je parle là uniquement en terme de physique bien sûr, donc en fait d'attirance sexuelle. Car c'est ça que ça veut dire pour parler sans langue de bois.
Pour le reste, le physique de la personne m'importe peu. Je dois pouvoir être amoureuse d'un homme qui n'est pas gros, donc, uniquement parce qu'il m'intéresse intellectuellement. Mais je me demande s'il ne risque pas manquer un petit quelque chose.

Je sens déjà que cette affirmation pourrait géner. Il n'est pas de bon ton actuellement d'être attiré par ceux ou celles qui ne sont pas dans la norme. Affirmer qu'on n'aime que les hommes (ou femmes) minces ou même maigres (jusqu'où va la minceur) ne choque personne.
Dire qu'on aime les gros ou les grosses vous fait plutôt passer pour un(e) pervers(e) ou un(e) hypocrite.

C'est presque considéré comme une déviance sexuelle au même titre que la nécrophilie ou la zoophilie. Ou alors, on vous regarde comme le pauvre individu qui affirme qu'il aime les gros (grosses) pour ne pas avouer qu'il est incapable de séduire un(e) mince. Il se rabat donc sur ce qu'il trouve, c'est à dire les laissés pour compte de la séduction.

Et bien non! Moi, j'aime les gros et je le crie haut et fort. Une chair douillettement enrobée de gras, un ventre prohéminent (pas trop quand même, pas le ventre de la bière, tout doit être en harmonie), des jambes bien galbés (vade retro les mollets de coq) et j'ai envie de toucher.

vendredi, mars 02, 2007

Deuxième étape

Zut, alors, et où elle est la première étape?

Ben, je ne vous en ais pas parlé. La première étape c'était le nettoyage et la mise en place de mon troisième bac. Enfin le troisième des trois bacs que je compte conserver à la place des onze que nous avons eu à un moment. Entre temps, le nombre en avait quand même diminué. Il était passé à huit, puis à cinq.
Ce sera définitivement trois ... ou moins, mais pas plus.

Je ne compte pas le bac de 50 litres, vide, mais qui fonctionne quand même en permanence, qui n'est là que pour servir en cas d'urgence. Celui là, il est actuellement dans mon couloir, sur un meuble que je ne vais pas garder et il va aller dans mon cagibi sous peu.

Donc la deuxième étape a consisté à la mise en place du décor, plus la mise en eau. Il va rester comme ça pendant un bon mois, le temps que l'eau "se fasse".

Puis, la troisième étape sera le peuplement. J'ai déjà les poissons qui vont aller dedans. Ils sont actuellement dans un (trop) petit bac dans la chambre de ma fille. Ce sera un groupe de Lamprologus multifasciatus et un Lamprologus calvus black, probablement une femelle. Ces deux sortes de poissons sont des cichlidés qui vivent dans le lac Tanganyika en Afrique.

Voila une photo prise aujourd'hui, juste après la mise en eau (en cliquant vous le verrez en un peu plus grand):


lundi, février 26, 2007

Comment se rendre totalement ridicule et y survivre

Je vais rapporter ici ce qui m'est arrivé dans le genre: "plus stupide que moi, tu meurs". Je n'en suis pas morte, donc il faut croire qu'il doit y avoir plus stupide.
J'ai une (petite) excuse, j'étais jeune. Pas très très jeune (21 ans), mais suffisamment, surtout pour moi qui n'ai mûri que très tard (comment ça, je ne le suis pas encore??).

Donc, cette année là, je devais aller en Angleterre, dans un petit port de Cornouaille, Falmouth, pour un échange d'étudiant. Un élève de l'école des Beaux-Arts de Falmouth était venu à Marseille au deuxième trimestre de l'année scolaire et moi, j'allais à Falmouth pour le troisième trimestre.

Me voila donc partie, avec mes bagages, d'abord en train de Marseille à Calais, puis de là, à Londres où je devais prendre un autre train de Londres à Falmouth. C'est à partir du moment où je suis arrivée à Londres que ça a commencé à m***er. J'ai d'abord fait tout le tour de la ville par le métro, la ligne circulaire parce que je ne l'ai pas prise dans le bon sens.
Bon, j'arrive tout de même à la gare. Je sais déjà que je n'ai pas de train pour Falmouth jusqu'au lendemain matin. Je me mets en quête d'un "bed and breakfeast" pour passer la nuit. Une fois installée dans la chambre, je vais à la gare pour prendre mon billet, me disant que c'est toujours ça de moins que j'aurai à faire le lendemain matin.
Là, à la gare, je comprends que, non, en fait, il y a bien un train pour Falmouth ce soir, dans pas très longtemps. Je me dis: "zut, c'est con de payer une nuit d'hôtel, alors que je pourrais prendre ce train là".
Après avoir pris mon billet, je retourne dare-dare à l'hôtel, explique au monsieur que finalement j'ai un train ce soir. Il accepte de me rembourser et me voila repartie à toute vitesse à la gare, après avoir rassemblé mes bagages.
J'arrive au train, m'installe à côté d'un gentleman, très anglais dans son allure. Tout d'un coup: "merde, mon billet!" Et que je le cherche dans mon sac, partout, pas de billet. Crotte, pas de billet, j'ai dû l'oublier à l'hôtel. Mais le train va partir dans peu de temps, même si l'hôtel n'est pas loin, je n'aurai pas le temps de le récupérer.
Je m'adresse alors au gentleman d'à côté et lui explique tant bien que mal mon problème. Il veut bien m'aider et nous partons à la recherche du chef de train pour lui demander de retarder un peu le départ, le temps que je fasse un saut à l'hôtel récupérer mon billet. Au moment où nous le trouvons et où le monsieur très chic lui raconte ce qui m'arrive, je mets la main dans la poche de mon manteau et y trouve ... OUI ... vous avez deviné: mon billet de train.
Je sors donc celui ci de ma poche et le montre aux deux hommes qui me regardent avec un sourire un peu crispé. "Ah, les femmes dit le gentleman, elles sont toutes comme ça!"

Bon, me voila à nouveau dans mon train, qui part enfin vers Falmouth. Mais l'histoire n'est pas fini. Pendant le trajet, je me rends compte aux conversations qui se tiennent autour de moi que, non décidément, ce train là ne va pas jusqu'à Falmouth ce soir, j'avais mal compris. Seulement jusqu'à Truro qui est à une trentaine de kilomètres. Une paille! Comme ça fait déjà près de 24 heures que je voyage depuis Marseille et que je suis à bout de fatigue et de nerfs, je me mets à pleurer.
Personne ne fait attention à moi, heureusement.

A la gare de Truro, je demande à l'employé qui ramasse les billets à la sortie où il y a un téléphone. Comme je ne me vois pas passer la nuit dans Truro, je pense à téléphoner au directeur de l'école pour lui demander de venir me chercher.
En m'entendant demander ça et voyant sans doute ma mine complètement paumée, un couple qui était venu chercher leur fils à la gare et qui passe par Falmouth, me propose de m'accompagner. Je passe néanmoins mon coup de fil pour avertir que j'arrive et le directeur donne à ces gens l'adresse où il faut me déposer. Il est 11 heures du soir.

J'arrive enfin à Falmouth, vers 11 heures 30 et je réveille la dame qui s'occupe de l'hébergement des étudiants pour qu'elle me conduise à ma chambre.

Et voila mon Odyssée se termine. Les anglais sont vraiment gentils et serviables pour la plupart. Du moins ils l'étaient à l'époque. Et ils ont eu pitié de cette pauvre petite gourde française qui accumulait les co***ies.

Mon premier sondage: ouverture facile

Juste pour sauvegarder mon premier sondage blogitexpress.

Sondage inspiré par une note chez maevina (lien vers son blog dans mes liens).


Quand, sur un emballage vous voyez écrit "ouverture facile" que faites vous?

*J'ouvre avec le procédé d'ouverture facile et j'y arrive toujours0%
*J'essaye d'ouvrir avec le procédé d'ouverture facile, mais je n'y arrive jamais, alors, je fini par prendre des ciseaux (couteau)50%
*J'étudie attentivement le bidule pour comprendre comme c'est fait, puis je tente et en général j'y arrive16.66%
*J'étudie attentivement le bidule pour comprendre comme c'est fait et je me rabats sur les ciseaux (couteau)16.66%
*Je cherche pas à comprendre: je prends directement les ciseaux (couteau): expérience inside16.66%